Jacques Lapierre est né à Montréal (Canada) le 22 juin 1929 d’une famille de neuf enfants.

Son père, entrepreneur en bâtiments, fut ruiné par un associé lors de la grave crise économique mondiale, qui persista au Canada jusqu’en 1940, et Jacques Lapierre dut payer ses études par des travaux divers dès l’âge de 12 ans.

Menant études et gagne-pain de front, il acquiert le diplôme universitaire d’expert comptable (Association des Comptables Généraux Licensiés du Québec – C.G.A.). Ensuite :

- de 1953 à 1957 : il est chargé de la réorganisation des méthodes et procédures des Fonds de Pension de la ville de Montréal.

- En 1957, il entre à la compagnie France-Film comme conseiller du président pour l’organisation des sociétés du groupe. Travail de 2 ans et demi. La société distribue les films français au Canada et est aussi propriétaire de la première chaîne de télévision de Montréal.

- Mai 1960 : attaché à la commision des valeurs mobilières du Québec comme chef analyste financier.

- De mai 1964 à janvier 1968 : Vice-Président et Directeur d’un bureau de conseillers en organisation financière.

- Membre du Conseil d’Administration de diverses sociétés dont la SOQUEM, Société Québecoise d’Exploitation, il fut nommé en 1968 Vice-Président Directeur Général de l’Aluminium Boats and Canoes inc. et des Entreprises Lionel Ltd, première société du Canada de fabrication de bateaux de plaisance et de « scooters » de neige.

A l’origine, de part sa formation essentiellement technique, il était fermement opposé à tout ce qui avait trait aux sciences « occultes ». Cependant, esprit curieux et grand lecteur, il fut frappé par la coïncidence de certaines dates et phénomènes.

Quelques années de recherche dans le domaine de l’astrologie à titre de « hobby » l’ont convaincu qu’il existait là une science avec des règles et des lois bien précises dont on ne connaissait encore que les premiers mots.

Depuis 1969, Jacques Lapierre a abandonné ses fonctions antérieures pour se consacrer presqu’exclusivement à la recherche astrologique fondamentale.

Pour lui, l’astrologie est une science et cette science n’a évidemment rien de commun avec les « horoscopes » des journaux, les « mages » et des « prédictions » de revues plus ou moins spécialisées (bien qu’il existat quelques publications et auteurs sérieux.

Jacques Lapierre estimait cependant, qu’en dehors de la recherche astrologique de base, exigeant une formation mathématique et psychologique, il était possible de mettre à la disposition du public toujours curieux et toujours à la découverte de sa propre personnalité, des ouvrages attrayants, scientifiques et de compréhension facile.

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